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Notations
et remarques
de ses supérieurs
   


(1)
En 1888 : Il est perçu comme un officier sérieux, instruit, zélé, énergique…
Il a pourtant maille à partir avec son supérieur hiérarchique , le capitaine Mialle, commandant la 6e batterie du 35e d'artillerie à Grenoble.
Celui écrit
:
«… tendance à substituer sa propre expérience à celle de ses chefs ».
 
Il est vrai qu'au mois d'août, le lieutenant Siben a ouvertement contesté un capitaine devant la troupe pour prendre la défense d'un sous-officier impliqué dans un accident et qu'à l'annonce d'une sanction face à cette attitude, il a répondu :
«…venant de vous ça m'est égal ».
 

Les 15 Jours d'arrêts simples requis par Maillet sont transformés en 15 jours d'arrêt de rigueur par le gouverneur de Lyon, commandant le 14e corps d'armée.
 

C
et écart n'empêche pas Ernest dêtre globalement bien noté ;
les mentions « a de l'avenir » ou « faire arriver promptement » reviennent de nombreuses fois.

En 1897 : Ces mêmes notes permettent de savoir qu'Ernest est un sportif ;
... à coté de l'équitation et l'escrime, il pratique même la bicyclette.
 
 

 

 

 

 .

  

 
D
écorations
 

 
(2)
 
 
29 décembre 1900
 

Chevalier de la Légion d'Honneur

28 octobre 1915
  Officier de la Légion d'Honneur
16 juin 1920
  Commandeur de la Légion d'Honneur
28 novembre 1919
  3e classe de l'étoile de Kara-Georges de Serbie
27 octobre 1919
  Chevalier commandeur de l'ordre du Bain (?)
 
 

2e classe de l'ordre de l'Aigle Blanc de Serbie (avec glaives)

   
 
 
  
      E
rnest Siben,
  à cheval, précédant Chaulet, lt-colonel d'infanterie
                     en stage au 13e.
  en aéroplane, avec Delaunay, le 27 avril 1916,
  en voiture,  en direction de l'entrée d'un boyaux,
   (ci-dessous)   le 1er octobre 1916    (en bateau )